Nature en transit, le récent projet de Carolina Barros, explore la porosité des bords diffuses du développement urbain des villes chiliennes contemporaines, notamment dans les limites entre le territoire rural et la croissance de l’immobilier. La difficile coexistence entre le paysage de la zone centrale et la puissant machinerie de l’ économie, font évident les contradictions d’ un système impitoyable qui rase dans son route avec les espèces indigènes de la flore et faune.
Plus q’une critique nostalgique et vulgaire sur les avances du progrès,
l’ artiste reflète dans cette série de peintures monochromatiques, en outre
d ‘un vidéo, environ l’ exercice d’expansion du paysage poste industriel, contemporain affecté pour la disparition inévitable des dernières aperçus des verdures atteindres pur la lutte entre l`homme et la nature.
Ces paysages en transit, nous transmis aujourd’hui à partir du passé, à son courant disparition.
Lieu de permanent mémoire que nous montre Carolina Barros,
dans une opiniâtre référence sur les maillages plastiques des espaces en cours de construction et les stries du bois qui marquent horizontalement les grandes extensions des aubépines qui combatent pour survivre sur ses peintures.
Dans le frappant vidéo qui présent, où aussi introduit ces moyens, échange le mouvement du caméra avec les déplacement de cettes voiles qui acte comme trames.
Ainsi annonce ces limites finies de l’inexorable avance de l’homme et la barbarie dans le délabrement paysaje rural.
Arturo Duclos